Réunis à Copenhague à l’invitation de Danish Industry la Confederation de l’industrie danoise, les membres du Groupe de Travail sur la Durabilité environnementale d’Orgalim auquel nous participons, ont fait le point sur les nombreux sujets d’actualité en la matière : économie circulaire, passeports numériques des produits, stratégies durables, taxonome, et reporting durabilité ont animé les débats.

La FIEEC, représentée par Anne-Charlotte Wedrychowski, adresse ses chaleureux remerciements à Louise Bünemann, présidente de ce groupe et à Stéphanie Mittelham d’Orgalim ainsi qu’à nos homologues européens pour la qualité de ces échanges.

 

A Paris, dans nos locaux et simultanément au Japon en visioconférence, avec notre think tank le Club Rodin, nous avons accueilli le Symposium Franco-Japonais organisé à l’occasion des 85 ans de l’œuvre monumentale de Raoul Dufy « La Fée Electricité » exposée au Musée d’Art Moderne de Paris

A distance, les membres de la Japan Society for History of Science, de l’Académie de Technologie du Japon ou encore de l’IEEE ont pu échanger avec leurs homologues français du Club Rodin et de la SEE, Sophie Krebs conservatrice générale du patrimoine du MAM mais également avec la délégation japonaise d’experts en visite à Paris : M. Kuniaki Tanaka, professeur émérite de l’université de Chiba, de M. Hiroshi Suzuki, Directeur de l’Institut Meta-Engineering Research Institute et de Madame Miyuki Suzuki, Consultante pour Meta-Engineering.

Nous sommes très fiers de poursuivre l’aventure qui nous lie au Musée d’Art Moderne de Paris et tous ensemble avec nos partenaires, d’associer l’histoire des grandes découvertes de l’électricité aux métiers de nos filières, autour de l’œuvre extraordinaire de Raoul Dufy.

« Renforcer la compréhension commune des grands enjeux stratégiques du futur »

C’était l’objet de la rencontre qui a réuni les experts du ZVEI e. Vla fédération allemande des industries électroniques et numériques et ceux de la FIEEC et de ses adhérents les 6 et 7 septembre 2022 à Paris.

Au programme : les enjeux de normalisation et de surveillance du marché.

Ces deux journées ont été rythmées par des réunions de travail consacrées à la réglementation et la normalisation européenne, à la gouvernance de la normalisation internationale, à la formation des futurs experts en normalisation ou encore à l’évaluation de la conformité et la surveillance du marché.

La cybersécurité, les technologies de l’information et de la communication et l’économie circulaire ont également été au menu de cette rencontre qui ouvre le programme de travail 2022/2023 de la FIEEC en coopération avec ses partenaires internationaux.

Herzlich willkommen !

Le Prix FIEEC-BPI France de la Recherche appliquée récompense les chercheurs ayant mené, avec une PME ou une ETI, un partenariat dont l’impact est avéré en matière d’augmentation de chiffre d’affaires et de création d’emplois.

La FIEEC invite les chercheurs à déposer leur dossier de candidature en ligne à partir du 18 juillet et jusqu’au 13 septembre 2022.

Trois finalistes seront désignés par un comité de sélection composé d’experts de l’innovation industrielle. Parmi eux, le lauréat du Prix FIEEC-BPI France de la Recherche appliquée 2022 recevra une dotation de 5 000 € au cours de la cérémonie de remise de Prix qui aura lieu à Paris dans le cadre de BIG BPI France à l’Accor Arena, le 6 octobre 2022.

Chercheurs ! Saisissez l’opportunité de remporter le Prix 2022 et de promouvoir votre action ainsi que le renforcement de l’industrie grâce aux partenariats recherche-entreprises !

Avec l’appui de la FIEEC, donnez de la visibilité à vos recherches grâce à une communication conjointe avec BPI France, le soutien de l’Association Nationale pour la Recherche et le Club Rodin.

Le Prix s’adresse à des candidats aux profils de chercheurs, d’enseignants-chercheurs ou d’ingénieurs d’établissements d’enseignement supérieur ou de recherche.

Les critères du partenariat R&D :

  • Il porte prioritairement sur la mise en œuvre de nouvelles technologies issues de la recherche dans le domaine de l’électricité, de l’électronique ou du numérique appliqué au développement industriel, répondant aux enjeux d’avenir liés par exemple à la mobilité, au bâtiment, au vieillissement de la population ou aux objets connectés…
  • Il a débouché sur une application effective et réussie d’un procédé, produit ou service nouveau.

Les critères des entreprises :

  • Elles peuvent appartenir à tout secteur d’activité
  • La taille de l’entreprise se situe de 10 à moins de 5 000 salariés

Le dossier de candidature

Le règlement

Laurent Tardif, Président de la FIEEC a signé ce 11 juillet 2022 la Déclaration des acteurs de la filière du Bâtiment et des Travaux Publics sous l’égide de Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et d’Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des PME, du commerce, de l’artisanat et du tourisme.

Depuis l’été 2021 plusieurs secteurs d’activité représentés par notre Fédération sont confrontés à un allongement inédit des délais d’approvisionnement ainsi qu’à une hausse significative des prix des matières premières. Or, les hausses de coûts ne sont que très partiellement ou progressivement intégrées dans les mécanismes de révisions des prix, faisant porter un poids grandissant sur les entreprises intermédiaires de la chaine de valeur.

Dès l’été 2021, la FIEEC a appelé à la solidarité entre les entreprises d’une même filière mais également entre les fournisseurs et leurs clients pour faire face collectivement à cette forte incertitude économique. Les entreprises ont été invitées à entamer un dialogue constructif afin de trouver des solutions mutuellement acceptables en s’appuyant sur les outils juridiques à leur disposition et en adaptant, ou renégociant si nécessaire, les clauses de leurs contrats.

Depuis le début de l’année 2022, la FIEEC participe aux travaux menés au sein du Comité de filière BTP dans le contexte de la crise des approvisionnements en matières premières. Présidé par le Médiateur des Entreprises, le champ d’action de ce comité porte notamment sur les comportements anormaux des entreprises signalés par les organisations participantes dans ce contexte particulier.
Notre Fédération a ainsi contribué à la rédaction de la Déclaration des acteurs de la filière du Bâtiment et des Travaux Publics pour faire face aux difficultés d’approvisionnement en matières premières, fournitures, équipements et matériaux de construction.

Les travaux entamés en 2021 ont abouti ce lundi 11 juillet à la Déclaration de filière BTP à laquelle la FIEEC a contribué activement et dont les axes majeurs sont :

– L’accès et la diffusion d’une information fiable sur les perspectives d’approvisionnement ;
– Un traitement équitable dans la relation client-fournisseur ;
– L’aménagement des conditions d’exécution des marchés ;
– Ou encore la prolongation ou la suspension des délais d’exécution des marchés.

A l’issue de son Assemblée Générale annuelle, la FIEEC annonce la nomination de trois nouveaux membres à son Bureau : Laurent Bataille, Frédérique Le Grevès et Florence Ropion.

Laurent BATAILLE, Président du GIMELEC, groupement des entreprises de la filière électro numérique française, Président de Schneider Electric France est nommé Vice-président Branche Electrique de la FIEEC. Laurent Bataille a rejoint Schneider Electric en 2004 au sein de la Direction de la Stratégie et des Acquisitions. Il occupe différents postes à responsabilités dans la division industrielle CST de 2006 à 2011 avant de mener l’activité Solaire de Schneider Electric de 2011 à 2014. En 2014, il prend la tête de la division EcoBuilding avant d’être nommé Directeur général Digital Energy en janvier 2019.

 

Frédérique LE GREVES, Vice-présidente Exécutive en charge des Affaires publiques pour la France et l’Europe et Présidente Directrice Générale de STMicroelectronics France est nommée Vice-présidente Branche Electronique de la FIEEC. Frédérique Le Grevès a occupé auparavant des postes de direction marketing et communication au sein de groupes de la filière automobile, notamment au sein d’Aptiv, de Nissan, de Renault et de l’Alliance Renault Nissan Mitsubishi.

 

 

Florence ROPION, Présidente de l’Alliance Française des Industries du Numérique (AFNUM), Vice-présidente de Dell SAS, déjà membre du bureau de la FIEEC, est nommée Vice-présidente Numérique. Florence Ropion a consacré sa carrière à la Tech, occupant des rôles de premier plan dans les ventes et le marketing. Elle est passionnée de technologie et d’innovation qu’elle souhaite au service des personnes et des organisations dans le respect de l’éthique, de la diversité et de l’inclusion. 

 

 

« C’est avec beaucoup de fierté que nous accueillons Monsieur Bataille, Madame Le Grevès et Madame Ropion, en tant que nouveaux vice-présidents au sein de notre Bureau. Face aux défis que nous devons relever, leur engagement et leur expertise de la filière constituent un atout majeur pour notre Fédération » a commenté Laurent Tardif, Président de la FIEEC.

La ministre chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Egalité des chances Isabelle Rome, a tenu à poursuivre les échanges initiés lors des Rencontres de l’Attractivité que nous avions organisées en juillet 2022 dans nos locaux.

Autour de la table la délégation emmenée par Doris Birkhofer, Frédérique Le Grevès, Karima Cherifi, Stella Morabito, Sophie Bureil, Karine Lopez-Moreau et Alexandre Allemand a pu approfondir les réflexions engagées pour la transformation de nos modèles et travailler aux solutions concrètes pour renforcer la parité dans nos filières d’avenir.

Le 16 juin, la FIEEC a organisé ses Rencontres de l’Innovation Technologique sur le thème de la photonique.

Grâce aux présentations d’Eléonore Hardy, de Laurent Fulbert (tous les deux du CEA-Leti) et de Yannick Paillard (Scintil Photonics), les participants ont pu découvrir à la fois des applications concrètes de la photonique, mais aussi les perspectives de cette innovation technologique.

La photonique est un changement de paradigme. Là où l’électronique s’est imposée dans le domaine de l’informatique avec un traitement de l’information basé sur l’électricité (l’électron), la photonique propose une nouvelle approche : passer de l’électron au photon, passer de l’électricité à la lumière.

Dans le monde ultra connecté de demain où nos villes et bâtiments seront intelligents, la photonique occupera une place de premier choix en permettant des échanges de données plus rapides entre les serveurs.  Mais ce n’est pas tout : les processeurs optiques permettent aussi des calculs plus rapides tout en évitant les effusions de chaleur de l’électronique (en évitant la surchauffe du cuivre lors du passage du courant). Cette propriété fait des processeurs optiques un allier de poids pour le développement de l’intelligence artificielle et ses méthodes de machine learning.

Retrouvez la présentation de Yannick Paillard, Directeur Commercial de Scintil Phononics

Retrouvez la présentation d’Eléonore Hardy, Responsable des partenariats en photonique silicium

Retrouvez la présentation de Laurent Fulbert, Adjoint au Chef du département Optique et photonique

Accédez à l’article de l’Usine Nouvelle paru à l’issue du webinaire

Les industries électriques, électroniques et des communications soutiennent les objectifs climatiques européen du paquet Fit for 55, qui rejoignent les actions menées par nos industries depuis de nombreuses années : agir pour une compétitivité équitable et soutenir la transition écologique. Les entreprises de la FIEEC et du ZVEI sont déterminées à développer et produire des solutions pour accomplir nos transitions énergétique et écologique.

Nous appelons à la plus grande vigilance sur les impacts de la création du MACF et la réforme du système de quotas carbone sur la compétitivité des secteurs industriels aval. Les industries manufacturières européennes utilisant notamment du fer, de l’acier et de l’aluminium vont voir leur coût de production augmenter, amoindrissant leur compétitivité sur le marché européen et à l’export, au détriment de la réindustrialisation de l’Union Européenne, alors que les mêmes produits fabriqués hors de l’UE ne verront pas leur prix augmenter.

Dans la proposition de la Commission du 14 juillet 2021, les importateurs des marchandises concernées (fer et acier, aluminium, électricité, ciment et engrais) achèteront des certificats d’émission correspondant à l’intensité carbone des marchandises importées. Le prix de ces certificats correspondra au prix qu’aurait coûté la même marchandise produite en Europe avec le système de quotas européen.

Si le MACF et la fin des quotas gratuits est pensé pour limiter les risques de fuite de carbone sans affecter la compétitivité de nos entreprises, nous craignons qu’en l’état actuel, la fuite de carbone ne se fasse plus sur les filières en amont (la production de marchandises), mais sur les filières en aval, qui ne sont pas incluses dans le MACF mais qui souffriront de la montée des coûts de production.

Pour maintenir la compétitivité de nos filières aval au sein du marché européen et à l’export tout en restant dans le cadre de l’OMC, il est crucial que des mesures soient mises en place sans délai pour permettre aux entreprises européennes de se préparer, notamment dans les secteurs stratégiques tels que les industries électriques (batteries, moteurs, transformateurs, câbles …), l’industrie des équipements médicaux et domestiques pour lesquels beaucoup d’acier et d’aluminium sont utilisés.

Pour consulter le document, cliquez-ici.

Retrouvez la tribune commune des Présidents d’Aluminium France, de la FIEEC et de la FIM – Fédération des Industries Mécaniques dans Le Monde

La FIEEC soutient les objectifs climatiques européens du paquet Fit for 55 qui rejoignent les actions menées par nos industries depuis de nombreuses années : agir pour une compétition équitable #levelplayingfield et soutenir la transition écologique.

Concilier compétitivité et écologie est indispensable ! Le MACF, s’il a été pensé avec objectif de rendre nos industries vertueuses plus compétitives face aux entreprises étrangères qui le serait moins, il risque pourtant d’avoir un effet totalement contraire à son ambition.

Prenons l’exemple d’un robot cuisine, nécessitant des matériaux compris dans le MACF : pour le construire en France, il faudra importer des matériaux dont le prix aura augmenté en raison du MACF. Le prix de production augmentera donc aussi, baissant la compétitivité du fabricant français. Or, si le fabricant décide de fabriquer le robot en question intégralement à l’étranger, le même robot fabriqué avec les mêmes matériaux reviendra moins cher pour le fabricant une fois importé !

Ainsi, au lieu d’aider à la réindustrialisation de l’Europe, le MACF vient entraver la compétitivité de nos industries européennes, pourtant au cœur des enjeux de la transition écologique.

Il est essentiel que les pouvoirs publics prennent comptent de ces risques de délocalisation dans un contexte où la réindustrialisation de la France est devenue une priorité.

Retrouvez l’intégralité de la tribune de Guillaume de GOYS, Henry Morel et LAURENT Tardif en cliquant ici.