Dans un contexte de renforcement des exigences liées à la gestion des substances réglementées, et dans une recherche de transparence et de développement de l’économie circulaire, la FIEEC propose une formation ciblée sur ce sujet clé pour les industriels électriques, électroniques et de communication.

De la définition des substances réglementées, en passant par le rôle des différents acteurs d’une chaine d’approvisionnement, à la gestion des substances dans les processus de fabrication, d’assemblage, de déclarations, d’étiquetage ou encore d’emballage, vous aurez une approche 360° du sujet. Cette session d’une journée sera agrémentée de nombreux exemples pratiques autour d’une pédagogie interactive, et délivrée par deux intervenants experts dans leur domaine :

  • Matthieu WEMAERE, avocat inscrit aux barreaux de Paris et de Bruxelles. Son cabinet est spécialisé en droit de l’environnement, du climat et du développement durable. Il exerce des activités de conseil et de contentieux pour le compte de clients publics et privés.
  • Arthur VANDENBERGHE, Chargé de mission Énergie & Environnement et pilote du groupe de travail Substances de la FIEEC.

Les « plus » : des modules complémentaires, plus spécifiques à certaines thématiques, pourront être élaborés en fonction des attentes des participants.

Publics concernés : Responsables QSE, Achats, R&D, exploitants de sites industriels

Dates proposées : 8, 10, 15 ou 17 Décembre 2020 (à définir)

Durée : 1 journée (7 heures) – 9h/12h – 13h/17h

Tarif : 840 € HT la journée (par personne) non éligible au CPF et à toute prise en charge.

 

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Dans le cadre de la préparation de la stratégie d’accélération de l’Intelligence Artificielle, le CSF Industrie Electronique – représentant les industriels français de la filière électronique* – a organisé dans les locaux de la FIEEC les Ateliers de l’Intelligence Artificielle Embarquée le 13 octobre dernier en coopération avec la Direction générale des Entreprises (DGE) et les acteurs du Manifeste pour l’Intelligence Artificielle

L’IA embarquée est essentielle au développement de nombreux usages nouveaux (véhicules connectés ou autonomes, e-santé, Industrie du futur…), avec des perspectives majeures de renforcement de la performance ou de la sécurité, ainsi que de réduction de la consommation d’énergie.

Afin d‘adresser ces différents enjeux, les échanges se sont organisés autour de 3 ateliers thématiques :

  • Atelier n°1 : Quels référentiels, certifications et normes pour promouvoir une IA Embarquée interopérable ?
  • Atelier n°2 : Comment garantir une IA Embarquée indépendante, sécurisée et sobre ?
  • Atelier n°3 : Comment développer une IA Embarquée répondant aux besoins des filières et assurer sa diffusion dans l’écosystème ?

Le programme de cette journée a ainsi permis de soumettre et partager près d’une dizaine de projets innovants d’Intelligence artificielle embarquée.

Cette rencontre en mix présentiel a connu un franc succès, et réunit plus d’une centaine de participants et partenaires de l’ensemble de l’écosystème ! Les différents projets et actions identifiées viendront nourrir les réflexions et actions portées notamment par la filière dans le cadre de la stratégie d’accélération de l’IA.

* ACSIEL, Embedded France, FIEEC, SNESE, SPDEI

Le président de la FIEEC, Laurent Tardif, a souhaité apporter un éclairage industriel aux débats autour de la technologie 5G à l’occasion d’une tribune publiée dans l’Opinion.

« Le déploiement des réseaux très haut débit est une condition sine qua non de l’essor de l’économie numérique » explique-t-il.

Il y indique en quoi la 5G représente un véritable outil de performance au service de la modernisation de l’appareil productif et une rupture dans l’approche des fonctionnalités permises par les réseaux mobiles. Et de préciser « elle représente tout un écosystème qui constituera le système nerveux de l’industrie et des services en France pour les 15 prochaines années ».

Ce haut niveau de performance des réseaux permettra à de nouveaux usages d’émerger dans l’industrie (optimisation des opérations de production, maintenance prédictive, réalité augmentée, amélioration de la chaine logistique..) et servira de nombreux secteurs innovants (e-santé, télémédecine, nouvelles mobilités, villes intelligentes..).

A l’heure où le numérique est au cœur de la relance économique avec des infrastructures « clés » pour la transformation de notre société, le déploiement de la technologie 5G « garantit la compétitivité de nos entreprises, en évitant le risque d’un décrochage technologique » poursuit-il.

Retrouverez l’intégralité de la Tribune en cliquant ici

Le décret du 24 juillet 2019 prévoit de nouvelles obligations à destination des entreprises pour améliorer l’accessibilité des services de communication au public en ligne, au bénéfice des personnes en situation de handicap.

Applicables aux entreprises réalisant plus de 250 millions de chiffre d’affaires en France, ces obligations couvrent les sites internet, intranet et extranet ainsi que applications mobiles, les progiciels et le mobilier urbain numérique.

Pour clarifier la mise en œuvre de ces dispositions, la FIEEC et le cabinet Deloitte Legal I TAJ ont organisé une matinale d’échanges le 24 septembre dernier en semi-présentiel à l’Espace Hamelin qui a réuni plus d’une vingtaine de représentants d’entreprises. Une belle occasion de se rencontrer et de partager ouvertement sur les questions en suspens quant à sa mise en œuvre concrète.

Dans les mois à venir, la FIEEC continuera de rester active sur ce sujet afin d’apporter les clarifications et précisions utiles pour les entreprises.

Pour toute question sur ce sujet, n’hésitez pas à contacter : jmacaire@fieec.fr

 

Les métiers de la fibre optique ont de l’avenir !

Avec un pic d’emplois en 2022 où près de 27 000 personnes devront être mobilisées pour déployer la fibre optique en France et des besoins qui restent forts jusqu’en 2024, des mesures de soutien au recrutement et à la formation sont nécessaires afin d’assurer une moyenne d’environ 7 000 recrutements par an jusque 2023 et répondre à cette demande.

C’est l’un des enjeux de l’étude présentée le 15 septembre 2020 lors du colloque de clôture de l’Engagement pour le Développement de l’Emploi et des Compétences (EDEC) « Fibre Optique »*.

Comme le précise son président, M. Marc Leblanc « l’EDEC Fibre Optique que nous clôturons aujourd’hui a permis de mobiliser la filière sur les problématiques d’emploi et de formation. Il est important de conserver cette dynamique pour poursuivre l’accélération des déploiements et se projeter vers les métiers et les emplois numériques du futur. »

Et ce d’autant plus que les infrastructures numériques, et notamment la fibre optique, répondent aux nouveaux usages (télétravail, télémédecine…) qui ont émergé avec la crise sanitaire. On fait face à « une augmentation de 7 à 8,3 millions d’abonnés à la fibre au 1e semestre 2020 » indique M. Marc Leblanc, ce qui représente un défi majeur en termes de formation et de recrutement des professionnels qui déploieront ces solutions.

Les résultats détaillés de l’étude et les recommandations pour répondre aux enjeux qu’ils soulèvent pour l’emploi et les compétences des professionnels de la fibre optique sont disponible sur le site d’objectif fibre

* signé entre le Ministère du Travail, l’Agence Nationale de la Cohésion des Territoires, les branches (FFB, FNTP, UIMM, HumApp), les fédérations professionnelles membres d’Objectif Fibre (FFIE, FFTélécoms, FIEEC, InfraNum, SERCE) et les OPCO (Constructys, OPCO2i et AKTO).

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